Je me suis fait attaqué hier soir, je veux dire ce matin près du canal St Martin, je passais sur un pont quand trois types, je veux dire trois brutes entre 1M90 et 2M sorti de nulle part m’ont sauté dessus me criant : LA BOURSE OU LA VIE !
J’en poussai rapidement un dans l’eau et évitais en même temps un coup de pied retourné renversé je pris appuis sur mes mains et assainais un low kick, le deuxième tomba dans un camion transportant des graviers, le troisième sortit alors un couteau de sa poche, une grosse lame qu’il essayait de me planter dans le cœur je lui empoignais le poignet en essayant de dévier le coup il était maintenant dos à moi il forçait pour me trancher la gorge.
Je luttais le repoussant comme je pouvais puis au loin derrière le point FMR, derrière le graph' d'Herman Dune je vis la lune pleine dans le ciel et il me vint une idée, je plaçais la lame dans l’inclinaison de la lune pour la faire briller dans ses yeux, la luminosité se faisait alors écrasante, comme une journée d’Aout en plein désert, il criait, il hurlait, la luminosité de la lune qui se reflétait sur la lame du couteau lui fit lâcher prise, il tomba et s’évanouissait.
Au bout d’une heure mon arcade continuait à pisser le sang,
Je m’appuyais contre un platane pour m’allumer une cigarette, un cabriolet blanc avec trois mannequins russes s’arreta à ma hauteur avec cette vieille chanson de Polnareff à tue tête dans les hauts parleurs recouverts de fourrure TA TA TA, l’une d’entre elle fit un strip tease et me jeta son soutien gorge en pleine figure, je refusai de monter pour continuer mon chemin taciturne et spirituel récitant à voix haute ce poème Ouzbek que j’adore de Alishkzoy Nazoï :
Aussi haut que soit ta tête
Ne sais tu pas que le vertige
Se pavane en bas devant toi
Devant la grille rouillée
De tes souvenirs
Pense alors tes blessures
Pour oublier ton futur
MP3 : Michel Polnareff - TA TA TA
J’en poussai rapidement un dans l’eau et évitais en même temps un coup de pied retourné renversé je pris appuis sur mes mains et assainais un low kick, le deuxième tomba dans un camion transportant des graviers, le troisième sortit alors un couteau de sa poche, une grosse lame qu’il essayait de me planter dans le cœur je lui empoignais le poignet en essayant de dévier le coup il était maintenant dos à moi il forçait pour me trancher la gorge.
Je luttais le repoussant comme je pouvais puis au loin derrière le point FMR, derrière le graph' d'Herman Dune je vis la lune pleine dans le ciel et il me vint une idée, je plaçais la lame dans l’inclinaison de la lune pour la faire briller dans ses yeux, la luminosité se faisait alors écrasante, comme une journée d’Aout en plein désert, il criait, il hurlait, la luminosité de la lune qui se reflétait sur la lame du couteau lui fit lâcher prise, il tomba et s’évanouissait.
Au bout d’une heure mon arcade continuait à pisser le sang,
Je m’appuyais contre un platane pour m’allumer une cigarette, un cabriolet blanc avec trois mannequins russes s’arreta à ma hauteur avec cette vieille chanson de Polnareff à tue tête dans les hauts parleurs recouverts de fourrure TA TA TA, l’une d’entre elle fit un strip tease et me jeta son soutien gorge en pleine figure, je refusai de monter pour continuer mon chemin taciturne et spirituel récitant à voix haute ce poème Ouzbek que j’adore de Alishkzoy Nazoï :
Aussi haut que soit ta tête
Ne sais tu pas que le vertige
Se pavane en bas devant toi
Devant la grille rouillée
De tes souvenirs
Pense alors tes blessures
Pour oublier ton futur
MP3 : Michel Polnareff - TA TA TA